Dans le contexte, le dossier Transat constitue une occasion à saisir. Plutôt que de devoir à nouveau intervenir « d’urgence » dans quelques années et sauver de la faillite, lors de prochaines turbulences, un nouvel investisseur privé, cessons immédiatement de socialiser les risques et les pertes tout en privatisant les profits, puis prenons collectivement le contrôle de Transat par la nationalisation partielle ou complète, tout simplement.
La lettre de notre chercheur, X. Hubert Rioux, parue dans Le Devoir.
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IDÉES - Le Devoir