Notre équipe

Doctorat de sciences sociales (sociologie) à l'École normale supérieure de Cachan, à Paris. Il a publié de nombreux travaux scientifiques, en particulier dans le domaine des études coopératives. Il s'intéresse plus spécifiquement à l'économie politique de l'exploitation forestière et aux questions relatives au développement régional. Robert Laplante a publié plusieurs livres, dont un sur l'expérience coopérative de Guyenne. En 2004, il publiait un recueil d'analyse politique, Chronique de l'enfermement.

Titulaire d'un doctorat en sociologie économique de l'Université Laval, où il est professeur associé au département de sociologie. Il a réalisé un stage d'études doctorales en économie des institutions à l'Université de Toulouse-I. Il codirige, avec Frédéric Hanin, la collection Vie économique aux Presses de l'Université Laval. Ses recherches portent notamment sur la financiarisation de l'économie, l’économie politique de l'agriculture et des ressources naturelles, la transition énergétique ainsi que le développement régional au Québec.

Détenteur d’un doctorat en sociologie réalisé en cotutelle à l'Université du Québec à Montréal et à l'Université de Strasbourg, il est chargé de cours à l’UQAM. Spécialisé en sociologie économique, il s’intéresse au rôle économique de la science et de la technologie et aux enjeux socioéconomiques qui s’y rattachent : propriété intellectuelle, actifs intangibles, nouvelle économie, économie numérique, entreprises de plateformes, etc. Il coordonne actuellement un projet d’envergure sur les enjeux liés à l’économie numérique au Québec et les applications possibles des plateformes et de l’intelligence artificielle à l’économie sociale.

Noël Fagoaga possède une maîtrise en génie des bioprocédés et une maîtrise en environnement et développement durable. Il travaille sur les enjeux liés à la transition énergétique et l'adaptation aux changements climatiques. Ces sujets de prédilection sont les filières de valorisation de la biomasse, les phytotechnologies, la gestion des matières résiduelles, la gestion de l'énergie et leur intégration au sein des réalités territoriales.

Titulaire d’un doctorat du Département de sociologie de l’Université Laval, où il fut chargé de cours, il est l’auteur du livre Une brève histoire de l’agriculture au Québec. De la conquête du sol à la mondialisation. Son mémoire de maîtrise fut couronné du Prix Georges-Henri-Lévesque décerné par l’ACSALF et du prix de l’IRÉC. Il fut chercheur post doctoral au Département sociétés, territoires et développement de l'UQAR, en plus d'avoir oeuvré chez Traget Laval, un centre de recherche spécialisé sur les questions de relève agricole. Il a notamment participé au développement de la formule AGROFOR qui vise à soutenir les filières agroalimentaires en émergence, en plus de travailler à bâtir un réseau québécois d'incubateurs d'entreprises agricoles.

Gabriel Bourgault-Faucher détient un baccalauréat en sociologie de l’Université Laval et une maîtrise en sociologie de l’Université Paris Descartes. Son mémoire porte sur l’agriculture biologique en France et ses canaux de distribution, dont les magasins d’alimentation biologique. Il s’intéresse plus généralement aux questions liées à l’agroalimentaire et au développement régional. Il a entre autres mené des recherches sur les incubateurs d’entreprises agricoles. Depuis trois ans, il se spécialise sur l’économie des pêches et la commercialisation des produits aquatiques au Québec. Il est notamment membre du collectif « Mange ton Saint-Laurent!».

Elle a obtenu son baccalauréat en sciences économiques avant de poursuivre ses études à l'Université du Québec à Montréal (UQAM), où elle termine une maîtrise en sciences économiques. Pendant ses études supérieures, elle s'est spécialisée dans les questions liées à l'économie de l'environnement. Son mémoire porte spécifiquement sur le système de plafonnement et d'échange de droits d'émission (SPEDE) entre le Québec et la Californie.

Économiste de formation, il a exercé plusieurs responsabilités en matière de planification stratégique à titre de consultant, avant de coordonner une équipe de planification à la Ville de Montréal. Il a par la suite occupé plusieurs postes dans le secteur financier, à la Caisse de dépôt et placement du Québec, à la Commission des valeurs mobilières du Québec dont il a été le dernier président avant son intégration à l’Autorité des marchés financiers, puis à titre d’économiste invité à la Banque du Canada. Il a par la suite été l’adjoint, responsable de la planification, au Directeur général de la Ville de Montréal, avant de se joindre à l’équipe de l’IRÉC, où il s’intéresse tout particulièrement aux dossiers de la transition énergétique du Québec, du logement et de la fiscalité.

Titulaire d'un baccalauréat en sciences sociales de l'Université du Québec en Outaouais et complétant présentement une maîtrise en histoire à l'UQAM, Louis-Philippe Sauvé a travaillé pendant plusieurs années sur la Colline parlementaire à Ottawa comme adjoint parlementaire, recherchiste et conseiller politique.