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Fiches techniques

La contribution du transport de personnes aux gaz à effet de serre : Changer et varier les façons de se déplacer


Comme c’est le cas pour plusieurs pays, et en particulier en Amérique du Nord, le transport de personnes au Québec repose avant tout sur l’utilisation de la voiture en solo. En 2017, le Québec comptait à lui seul 4,7 millions de véhicules de promenades immatriculés sur son territoire. En 2016, le parc automobile, qui est formé des voitures et des camions légers, génère 17,2 millions de tonnes équivalent CO2 par année, correspondant à 21,9 % du total des émissions de gaz à effet de serre (GES) de la province. Pour réduire les émissions polluantes de ces véhicules, un coût d’immatriculation additionnel est imposé aux véhicules de forte cylindrée. Toutefois, force est de constater que ce coût additionnel ne permet pas de ralentir l’achat de... Lire la suite
Fiches techniques

La contribution du transport de marchandises aux gaz à effet de serre : L’innovation technologique pour changer la logistique


Le transport de marchandises constitue un important levier économique et stratégique pour le développement du territoire. À cet égard, plus de 149 000 camions et tracteurs routiers étaient immatriculés au Québec en 2017. Les émissions de gaz à effet de serre (GES) qui proviennent des véhicules lourds s’élevaient, en 2016, à 9,7 millions de tonnes équivalent CO2, correspondant à 12,4 % du total des émissions de GES de la province. Malgré de récentes améliorations apportées à l’efficacité énergétique des véhicules, le transport de marchandises par camions continue d’émettre des quantités importantes de polluants dans l’atmosphère, en plus d’entraîner des perturbations significatives sur différents écosystèmes. Lire la suite
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La contribution de l’industrie métallurgique aux gaz à effet de serre : Le développement passe par l’innovation technologique


L’industrie métallurgique représente une part importante du secteur manufacturier québécois. Compte tenu des vastes secteurs d’activités qui lui sont reliés et de la contribution de nombreuses PME, cette industrie génère d’importantes retombées économiques sur le territoire québécois. En 2018, en prenant en compte la sidérurgie, les fonderies, la production et la transformation d’alumine, d’aluminium et de métaux non ferreux, ainsi que la fabrication de produit en acier, le produit intérieur brut de l’industrie s’élève à 4,5 G$ et génère plus de 16 000 emplois. Cependant, cette industrie demeure très énergivore et contribue de façon importante aux émissions de gaz à effet de serre (GES). Lire la suite
Fiches techniques

La contribution de l’industrie forestière aux gaz à effet de serre : La valorisation de la biomasse, une voie d’avenir


L’industrie forestière au Québec a été et demeure un important vecteur de développement économique et d’emplois. En 2018, en prenant en compte la foresterie et l’exploitation forestière, la fabrication de produits en bois, de meubles et de produits connexes, ainsi que les activités entourant les pâtes et papiers, le produit intérieur brut de l’industrie s’élève à 8,5 G$ et génère 92 000 emplois. Malgré les efforts consentis pour réduire son empreinte écologique, cette industrie continue d’émettre d’importantes quantités de gaz à effet de serre (GES). Lire la suite
Fiches techniques

La contribution des lieux d'enfouissement technique aux GES : un potentiel inexploité


Les gaz à effets de serre (GES) ne sont pas seulement l’affaire du secteur industriel. Les lieux d’enfouissement technique (LET) ont aussi leur part de responsabilité dans la production de GES au Québec. En effet, la décomposition de matière organique en situation d’anaérobie génère du méthane, un gaz dont l’effet de serre est 25 fois supérieur au CO2. Or, comme pour le milieu industriel, il existe déjà de nombreuses solutions innovantes qui permettent de réduire l’émission de CO2 et d’améliorer le bilan carbone des LET au Québec. Lire la suite
Rapport de recherche

Enjeux et perspectives entourant le statut des stagiaires au niveau collégial


La question de la rémunération et des conditions générales entourant la réalisation de stages dans le cadre de programmes d’études supérieures est de plus en plus présente dans l’actualité. Pour cause, plusieurs programmes d’études de niveau professionnel, collégial ou universitaire impliquent la réalisation de stages intensifs et de longues durées, dont les conditions diffèrent grandement d’un programme à l’autre, en particulier en ce qui concerne les stages réalisés dans les secteurs privé ou public. Afin de remédier à ces disparités ainsi qu’à la précarité financière qui est reliée à l’accomplissement de ces stages, plusieurs associations et regroupements étudiants se mobilisent afin d’exiger de meilleures conditions. En 2014, à... Lire la suite
Fiches techniques

Le modèle québécois d'assurance médicaments : Inefficace et dispendieux


Les enjeux autour des dépenses en médicaments sont nombreux et complexes. Il ne s’agit pas d’un problème unique au Québec, ni même au Canada. Il découle d’enjeux globaux qui relèvent plus largement de l’insertion d’une petite économie locale, comme celle du Québec, dans une économie mondiale traversée par des révolutions technologiques majeures (thérapies géniques, économie numérique, etc.) et par de nouveaux besoins de santé (dus à une transition démographique) qui bouleversent le secteur pharmaceutique. Il existe néanmoins de nombreux exemples de pays qui se sont dotés de systèmes universels d’assurance médicaments qui ont permis de répondre aux enjeux de santé publique tout en maîtrisant les coûts. Lire la suite
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