Recherche

22 résultats
Notes de recherche

Le banc d’essai en phytoremédiation : premiers résultats partiels et perspectives économiques


Depuis 2016, l’Institut de recherche en biologie végétale (IRBV), avec le soutien de la Ville de Montréal, dispose d’un banc d’essai en phytoremédiation situé dans l’arrondissement Rivière-des-Prairies/Pointe-aux-Trembles. Cette infrastructure verte est un équipement technologique de pointe destiné à l’expérimentation et au transfert technologique. Son programme de travail vise à tester diverses avenues d’utilisation des plantes aux fins de décontamination et restauration des terrains, en particulier les terrains industriels. Le banc d’essai produira les connaissances essentielles qui permettront de transformer le passif environnemental de l’Est de Montréal en actif stratégique. Les phytotechnologies peuvent, en effet, devenir la pierre... Lire la suite
Rapport de recherche

Vers un Pôle des technologies propres


L’établissement d’une cimenterie à Port-Daniel-Gascons représente une occasion de développement non seulement pour la collectivité immédiate, mais bien pour l’ensemble de la région et en particulier pour les MRC du Rocher-Percé et de Bonaventure. Un tel investissement procure déjà des retombées en emplois et un impact économique non négligeables. Cette implantation ne va cependant pas sans dresser des défis majeurs pour la région et pour le Québec tout entier. La cimenterie deviendra le plus gros producteur de gaz à effet de serre (GES) du Québec, ce qui, d’ores et déjà, pose le défi de concevoir et mettre en place une stratégie de mitigation essentielle pour la qualité de l’environnement et indispensable pour que le Québec atteigne ses... Lire la suite
Notes d'intervention

Les territoires face aux changements climatiques - Une approche intégrée de transition


Pour lutter contre les changements climatiques, le Québec se doit de repenser les cadres de l’action territoriale et de se donner les moyens d’accentuer une réelle démarche efficace et respectueuse de la diversité des contextes territoriaux. Nous nous inspirons du concept français de « territoires à énergie positive » et des principes d’écologie industrielle et territoriale pour proposer une approche intégrée et originale de transition capable d’allier transition écologique, occupation du territoire et développement économique local. Elle donnera aux régions, MRC et municipalités la capacité d’initier un mouvement de transition à la grandeur de leur territoire pour profiter de leur richesse socio-écologique et faciliter leur... Lire la suite
Autres publications

Le Québec à la croisée des chemins


Présentation de Noël Fagoaga, chargé de projet à l'IRÉC, au 85e Congrès de l'ACFAS. Lire la suite
2 vignettes
Notes d'intervention

Les éléments pour le développement d'une économie biosourcée - Une définition, une vision


La transition énergétique et écologique de l’économie passe par la réduction de la production et de l’utilisation des énergies fossiles. Les plus optimistes pensent même possible l’élimination quasi totale du recours à ces sources d’énergie d’ici quelques décennies. Cela ne veut pas dire que les molécules issues du pétrole et de ses dérivés disparaitront de l’usage, mais qu’elles cesseront d’être utilisées à des fins énergétiques. Cela signifie très certainement, cependant, qu’à une économie du pétrole doit succéder une économie dont la base énergétique sera celle des énergies renouvelables. Dans ce contexte, la question du choix des sources énergétiques renouvelables de remplacement doit être envisagée dans une problématique large, car le... Lire la suite
3 vignettes
Fiches techniques

Les biocarburants : créateurs d’emplois en région


Dans une fiche parue en février, nous avons présenté des estimations préliminaires concernant l’évolution de la demande de biocarburants considérant l’éventualité d’une politique québé-coise de transition énergétique plus ambitieuse. La présente fiche examine les impacts que ces estimations pourraient avoir sur le développement régional et la création d’emplois. Lire la suite
Fiches techniques

Évolution de la demande de carburants au Québec


La politique énergétique du gouvernement du Québec présente des objectifs unanimement salués comme ambitieux, en particulier en ce qui concerne la cible de réduction de la consommation de produits pétroliers, soit celle d’une baisse de 40 % d’ici 2030. Malheureusement, rien dans cette politique n’est proposé pour répondre à l’ambition de ces objectifs. Dans cette fiche, nous reprenons nos propositions en faveur des biocarburants et nous présentons les estimations de leurs impacts sur la consommation d’essence et de diésel. Lire la suite
Notes d'intervention

Transition énergétique: besoin d'une agence autonome


Cette note met l’accent sur la création de Transition énergétique Québec (TEQ), l’un des volets positifs que comportait le projet de loi 106 concernant la mise en œuvre de la Politique énergétique du gouvernement. Cette agence est en même temps au cœur du scénario de transition énergétique que nous avons récemment présenté dans un rapport de l’IRÉC. Nous présentons ici sa vision, sa mission et son financement. Lire la suite
Rapport de recherche

Transition du secteur énergétique - Amorcer une rupture


Les sociétés contemporaines sont confrontées à des défis sociaux, économiques et écologiques majeurs. Le plus récent rapport du Groupe international sur l’évolution du climat (GIEC) le confirme : malgré les traités, les conventions et les accords signés au cours des vingt dernières années concernant la réduction de l’empreinte écologique de l’humanité, aucune inflexion décisive n’a été donnée au modèle de croissance productiviste, qui s’étend désormais aux quatre coins de la planète. Fortement dépendant de l’utilisation des carburants fossiles, ce modèle énergivore et intensif en carbone est confronté à l’existence de seuils écologiques et climatiques critiques, dont le franchissement entraînerait de graves conséquences pour la biosphère... Lire la suite
Fiches techniques

Réduction des GES : la contribution d'Hydro-Québec


À l’automne 2015, le gouvernement Couillard lançait en grande pompe son Plan d’action sur l’électrification des transports (PAÉT) 2015-2020, avec un budget de plus de 420 millions $, qui devrait permettre de réduire de 150 000 tonnes les émissions de GES au Québec. Or, pour un coût beaucoup moindre, Hydro-Québec pourrait réduire d’un peu plus de 200 000 tonnes les émissions de CO2 en éliminant son utilisation d’énergie fossile pour le fonctionnement des centrales thermiques de ses réseaux autonomes. Présentation des faits. Lire la suite

Recherche avancée

Termes à rechercher:
Auteur.e:
Sujet:
Année de publication:
Types de publications: